Le "One Wall" fut importé aux États-Unis par les immigrants irlandais dans les années 1880. On recense plus de trois milles terrains extérieurs. Les Américains l’ont modernisé et depuis 20 ans, l’Europe s’y intéresse grâce aux championnats internationaux. Récemment la construction d'un premier mur de One Wall en Afrique a été entreprise.
Comme son nom l’indique, le "One Wall" est un sport qui se joue face à un mur. Il se base sur les mêmes principes que le squash. Il peut être pratiqué en simple ou en double, il se joue à main nue ou avec des gants en cuir souple. Seules les mains peuvent être utilisées pour frapper la balle. Celle-ci est de couleur bleue en caoutchouc. .
Il existe des variantes du "One Wall" comme le "Three Wall" (trois murs) ou le "Four Wall".
(quatre murs).
Le "One Wall" requiert de nombreuses qualités physiques :
Le terrain se compose d’un mur (fronton) et d’un terrain rectangulaire de 6,10 m de large sur 10,40 de long et d'un mur de 4,90m de haut. Les joueurs s’échangent la balle en la frappant la balle contre le mur. Celle-ci peut être frappée de volée ou après un seul bond.
Les équipes, tour à tour, doivent s’échanger la balle en frappant celle-ci contre le mur avec la main. Les joueurs doivent renvoyer la balle avant que celle-ci ne rebondisse deux fois au sol. Les joueurs peuvent sortir des limites du terrain pour jouer la balle. Le joueur ou l’équipe qui ne peut
ramener la balle sur le mur après un bond perd le point.
Des clubs de "One Wall" naissent en Belgique. Les jeunes adhèrent vite grâce à la facilité d’apprentissage du geste, à la réussite immédiate de situations jouées et à la facilité de compréhension des règles.